Le blog de infidele

Je profite souvent de ma pause de midi que je n’hésite pas à prolonger pour faire quelques courses en grande surface. J’aime ce moment pour faire les achats ménagés car il fait souvent calme et ça me permet de déambuler dans les rayons sans être bousculée et de regarder ce qui m’intéresse à mon aise. C’est aussi à ce moment qu’il y a le plus d’homme seul dans ce genre de magasin et comme j’aime être matée, on peut dire que ça tombe plutôt bien d’autant plus que la tenue que je porte ne les laisse visiblement pas indifférent. Il faut bien avouer que la longueur de ma jupe moulante est très audacieuse et la profondeur de mon décolleté attirant pour le regard des mâles. Je remarque que beaucoup d’hommes se retournent sur mon passage et me regarde jusqu'à ce que je disparaisse au coin d’un présentoir. Il y en a même qui me suivent pour profiter de la vue plus longtemps mais cela ne me gêne pas, bien au contraire, on peut dire que ca m’excite. Pendant ma petite balade au fil des rayonnages, je passe dans celui des chaussures. J’aime les chaussures et je remarque une paire de botte avec de très haut talon qui me plaise beaucoup. Je cherche ma pointure et après avoir fouillé dans l’étalage désordonné, j’en trouve une. Je m’assied sur le petit banc fixé à un pilier au milieu de l’allée et regarde autours de moi. Je vois un homme d’une cinquantaine d’année en costume cravate qui m’observe à quelques mètres. Je ne sait pas depuis combien de temps il est entrain de me regarder. En voyant que je lève les yeux sur lui, il me sourit sympathiquement. Je répond au sourire de cet inconnu par un large sourire et je décide de me laisser aller à mes penchant légèrement exhibitionniste. Je me place parfaitement face à lui pour enfiler les bottes en prenant soin d’ouvrir suffisamment mes jambes pour que cet inconnu se rende compte que je ne porte rien sous ma mini jupe et ainsi lui montré mon sexe parfaitement épilé. Je fais ce petit manège négligemment pendant que le type me découvre avec grand plaisir en s’approchant doucement de moi. Quand j’ai enfilé la deuxième botte, je vois deux pieds planté devant moi alors je lève les yeux et constate qu’il s’agit du gars du bout de l’allée. Il était là, planté devant moi en me regardant de haut. Il parait plus grand a mes yeux maintenant. Cette position lui donne un air de supériorité, de domination ce qui n’est pas vraiment pour me déplaire. Cet homme avait son sexe juste devant mon nez alors je regarde autours de moi si personne ne se profile à l’horizon puis je lève doucement une main pour la posé par-dessus son pantalon sur le sexe raide de ce voyeur. Je lève à nouveau le regard vers lui avec mes yeux de salope soumise. C’est ce moment qu’il choisit pour prendre la parole pour la première fois d’une voix grave et autoritaire : 

- « Tu la veux conasse ? »
C’est de cette manière que j’aime qu’on me parle et c’est ce genre de parole qui m’excite alors je lui fait un signe « oui » de la tête avant de me lever en lui disant : 

- « Il y a des cabine là bas. »
Le mec me suit vers ces fameuses cabines d’essayages en matant mon cul bien moulé dans une jupe qui m’arrive quand même au ras des fesses. Je m’engouffre à l’intérieur de l’une d’entre elle et m’assied sur un petit tabouret dans un coin. Le mateur y entre à son tour et se plante devant moi sans rien dire en me laissant prendre les initiatives. Je pose une fois de plus ma main sur la queue de cet inconnu avant de détacher son pantalon pour en sortir une queue bien raide que je me met à sucer immédiatement. Je le pompe avidement en levant de temps en temps les yeux pour voir l’expression de son visage. Sa queue est vraiment raide et de petits bruits de succion rompent un silence imposé par une discrétion obligatoire. Le type ferme les yeux régulièrement ce qui témoigne de son plaisir.  J’en profite pour sortir un préservatif de mon sac et je lui enfile avec dextérité en continuant mes caresses buccales pour être certaine qu’il ne débande pas. Cette précaution prise, je me redresse et pose deux mains contre la paroi de la cabine en me cambrant bien en arrière. Je le sent venir placer son sexe à l’entrée de ma chatte puis d’un coup sec, il me pénètre en lâchant un petit souffle de plaisir discret. Il m'agrippe par les hanches et débute un mouvement de vas et vient qui se fait de plus en plus rapide au fils des secondes qui passent. Nous entendions tout les deux passer les gens qui venaient essayer des vêtements sans se douter de ce qui se passait dans cette cabine. C’était encore plus excitant de savoir qu’ils peuvent être découverts à tout moment. J’espérait même que dans ce cas là, mon inconnu baiseur ne s’arrêterait pas. Pour l’instant, il me pilonne toujours vigoureusement mais je veux encore autre chose. je prend appuis d’une seule main en cherchant l’équilibre puis de l’autre, j’écarte une de mes fesses pour faire comprendre à ce mec que je veux sa grosse queue dans mon cul. Quand il voit ce petit manège, sans hésiter il se retire pour la fourrée brutalement dans mon petit trou. Les coups de rein étaient encore plus violent et je devais me tenir à deux main pour amortir les choques et évité de me retrouver assommée sur la paroi de la cabine. Il me tient fermement et me défonce de plus en plus violement puis d’un coup, il se plante au fond de mon cul pour jouir en soufflant très fort. Après s’être vidé les couilles, il se retire, enlève le préservatif, ajuste sa tenue puis quitte la minuscule pièce témoin de nos ébats sans me dire le moindre mot. J’aime être traitée de la sorte, me sentir utilisée. J’ajuste moi aussi ma tenue avant de faire maintenant réellement mes courses de ménage. Pendant l’après midi passé au boulot, je repense souvent à cette baise dans une grande surface et je me dit qu’il faudra remettre cela un de ces jours. 

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Ven 29 mai 2020 Aucun commentaire