Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 20:05

Il est 9h00 du matin quand je sors de ma douche. je suis en congé. Il faut dire que le début de semaine avait été très laborieux à mon boulot. Entre les rendez vous pour l’organisation de certains évènements et mon boulot à l’accueil de l’immeuble, il y a des moments ou je ne sais plus ou donner de la tête. Mais aujourd’hui, c’est vendredi et c’est relâche comme on dit. j' enfile mon léger peignoir en satin refermé par une simple ceinture nouée devant. Lorsque je passe devant le grand miroir du hall, je constate que le décolleté et la fente qu’offre la légèreté de ma tenue sont des plus ravageurs mais ce n’est pas très important car aujourd’hui je suis seule à la maison.

Une journée de détente et de calme sans stress et sans courir. Je regarde par la fenêtre qui de la cuisine donne sur le grand jardin à l’arrière de la maison en buvant mon café. Je pense aux changements que mon mari aimerait y apporter, les projets et les plans qu’il m’a montrés il y a quelques semaines. 

J’étais perdue dans mes pensées quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Un peu agacée d’être dérangée si tôt le matin, je traverse la cuisine puis la salle à manger avant d’arrivé dans le salon ou je peux regarder discrètement par la fenêtre qui cela peut être. Je me penche légèrement et voit un homme dressé devant la porte qui attend un colis à la main. Il y a devant la grille de la maison une camionnette de livraison. Encore une commande de Patric, mon mari certainement. 

Sans prendre la peine de resserrer mon peignoir, je vais ouvrir la porte. Le regard du livreur me regarde de haut en bas, je constate qu’il avale sa salive, visiblement troublé par ma tenue. je suis assez fière de lui faire cet effet. Quand il se reprend il me dit : 

  • -  « Bonjour, suis-je bien chez Monsieur Richard ? »
  • -  « Oui, je suis Sonia, son épouse »
  • -  « J’ai un colis pour votre mari madame »
    Le livreur me montre une boite en cartons de la taille d’un bouquin d’une main et dans l’autre il me tend un document.
  • -  « Il faut signer le document pour réception madame »
  • -  « Entrez, je vous en prie. »
  • Je prends le papier des mains du livreur et le pose sur une petite commode dans le hall d’entrée de la maison. Quand je me penche pour y apposer ma signature, je constate que le livreur qui ne devait pas avoir plus de 24 ou 25 ans avait les yeux plongé dans mon décolleté. Il faut avouer qu’il est bien profond. je ne me dépêche pas le moins du monde, bien au contraire, je prend tout mon temps pour offrir a cet homme une vue qu’il n’est pas prêt d’oublier. Lorsque, toujours penchée en avant, je lève les yeux vers lui, il détourne le regard gêné et se comporte comme s’il n’avait rien vu. Cette timidité séduisante m’excite et je sens monter le désir en moi.

- « Voila qui est fait »…

je me redresse et tend la feuille au jeune homme mais je la lâche juste avant que celui-ci ne puisse l’attrapée. Je m’abaisse immédiatement pour la ramassée et dans le même temps, je tire sur la ceinture de mon peignoir pour qu’elle se détache. Quand je me redresse, mon mince vêtement est totalement ouvert et je me retrouve nue face au livreur qui n’en croit pas ses yeux et qui reste comme pétrifié devant moi sans pourvoir bouger ni même dire le moindre mot. Décidemment il faut que je prenne les choses en main alors sans attendre, je prend la main du jeune homme et la pose sur ma poitrine. Il me caresse enfin les seins qui pointent immédiatement. Tout en léchant mes lèvres, je pose ma main sur le sexe du livreur et je sens qu’il bande déjà bien dur. L’envie de prendre cette grosse bite en moi se fait de plus en plus pressante. 

  • « Viens, suis moi »

Sans dire un mot le jeune homme me suit dans la salle à manger ou je m’installe sur la table, les jambes grandes ouvertes. Je sentais ma chatte trempée. 

- « baise-moi maintenant »
Le jeune homme me regarde incrédule mais sans rien dire, il détache son pantalon qu’il fait descendre sur ses chevilles et il fait de même avec son boxer. Je découvre enfin sa belle queue dressée fièrement. Il s’approche lentement et la place à l’entrée de ma grotte d’amour. Je n’en peut plus, je me redresse suffisamment pour placer mes mains derrière les fesses du livreur et l’attire d’un coup vers moi pour que sa queue me pénètre sans ménagement. je le regarde avec des yeux avides de sexe. 

- « Vas y, baise moi, défonce moi la chatte »

En entendant ces paroles, le jeune homme m’attrape par les cuisses et me lime de plus en plus rapidement en gémissant très fort. Il me défonce comme je le veux à grand coup de rein. Je gémissais très fort. j’ ai l’art de savoir ce qui excite les hommes, certainement grâce à mon expérience, je sais comment m’y prendre avec chacun sans les connaître et pourtant chaque homme est tellement différent mais toujours le même aussi quelque part. L’excitation était visiblement tellement forte qu’après avoir fait juste quelques vas et viens, il éjacule sur mon ventre. 

Le livreur était terriblement honteux de ne pas avoir su se maitrisé pour me donner plus de plaisir. Il attrape son boxer et son pantalon qu’il relève en même temps à la hâte avant de me regarder mais sans me faire le moindre commentaire de peur d’avoir une remarque désobligeante peut être. pour ma part j’étais partagée entre le sentiment de ne pas en avoir eu assez et la satisfaction que ce jeune homme n’ait pu tenir plus longtemps tellement je l’avais visiblement excité.

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Par infidele - Communauté : histoires vécues réelles
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Mercredi 10 juin 3 10 /06 /Juin 19:49

En raison de mon congé de lundi, j’arrive très tôt au boulot le mardi car je pensais bien avoir du boulot en retard. J’arrive dans mon bureau à 6h00, ouvre mon ordinateur mais constate que contrairement à ce que je pensais, la journée de lundi avait été calme et aucune demande des entreprises pour les quelle je travail dans l’immeuble n’était urgente si bien qu’une demi-heure plus tard, j’ avais déjà du temps libre en attendant l’ouverture des bureaux. En voyant le beau soleil matinal qui se lève, je décide d’aller faire une petite balade dans le parc qui se trouve à quelques centaines de mètres de mon boulot. J’ arrive dans ce petit coin de verdure en pleine ville et même si ma tenue n’est pas vraiment prévue pour une balade en raison de mes hauts talons principalement, je décide quand même de me promener dans les allées qui s’engouffrent parmi les arbres. Je prends un petit sentier ombragé et en raison de la brise du matin, on voit parfaitement pointer mes seins au travers du tissu très fin de mon chemisier. Pendant ma petite promenade, je vois s’approcher devant moi un homme qui fait son jogging. Il est assez grand, vêtu d’un petit short et torse nu. Il est assez musclé et me fait un peu penser dans sa morphologie à l’ouvrier qui travaillait dans mon jardin la veille sauf que celui-ci était blanc et un peu plus âgé. En passant à côté de moi, il me salue d’un grand sourire que je lui retourne gentiment. Quelques minutes plus tard, des pas de courses se font à nouveau entendre derrière moi. C’est à nouveau le même homme mais cette fois il s’arrête à ma hauteur pour s’adresser à moi : 

- « Bonjours mademoiselle, que faites vous dans le parc aussi tôt, je ne vous y ai jamais vu pourtant, je viens courir tout les jours. » 

Cette approche de drague bien classique ne me surprend pas du tout, j’en a l’habitude alors instinctivement, je lui répond quelque chose que je n’avait pas préparé et qui quelque part m’a un peu surprise moi-même : 

- « En réalité, j’avais rendez vous avec un copain pour qu’il me baise dans les bois mais il n’est pas là. » 

Le joggeur un peu surpris par cette réponse devient tout rouge et met quelques secondes avant de reprendre ses esprit alors contre toute attente il me répond sans trop de conviction : 

- « Je peux peut-être le remplacer si vous le désirez ? »
Sans dire un mot, je quitte le sentier et vais m’appuyer contre un arbre avant de lui faire signe de venir vers moi. Quand il s’approche, je vois qu’il est déjà en érection alors je m’accroupis devant lui et tire sur l’élastique de son petit short pour en sortir sa queue tendue que je porte immédiatement à ma bouche. Je le suce doucement avant de ressortir sa queue de ma bouche et de faire tourner ma langue autour de son gland rougis par le désir. Quand je me retire, de petit fil de salive s’étire de la tige tendu jusqu'à mes lèvres mouillées comme des toiles d’araignées couverte de rosée. J’engouffre ensuite de nouveau toute cette pine dans ma bouche dans un bruit de sucions humide. Le coureur me redresse doucement en me prenant par les bras puis approche son visage du mien avant de poser un doux baiser sur mes lèvres. Il s’ensuit un échange de caresses entre nos deux langues de plus en plus avides. Les bouches sont collées l’une à l’autre et les visages se penchent alternativement sur la gauche puis sur la droite. D’une main il tripote mes seins tandis que l’autre main s’occupe de mon cul qu’il pelote sans la moindre retenue pendant que je le branle 

délicatement. Son gros sexe tient parfaitement dans la paume de ma main et j’ai de plus en plus envie de la sentir ailleurs que dans ma main. Il profite d’un instant d’inspiration pour me dire : 

- « Tu es vraiment bonne et tu m’excite. »
je sais qu’il est excité, je le sens, j’ ai quand même un peu d’expérience dans le domaine et je sais ce que ressentent les hommes quand je m’occupe d’eux. Je me retourne, prend appuis sur l’arbre et me cambre au maximum. Je sens la colonne de chaire chaude se présenter à l’entrée de ma chatte trempée puis la pénétrer lentement. Centimètre par centimètre, je sens le sexe tendu de cet homme entrer en moi. Je préfère plus de brutalité voir même de violence mais je me contente de ce qu’on m’offre surtout quand c’est inattendu comme ce matin. Le joggeur me lime de plus en plus vite en me répétant sans cesse que je suis bonne. Je sens la jouissance monter alors j’ accélère moi-même et imprime le rythme en bougeant mon bassin d’avant en arrière. Je sens que l’éjaculation de mon amant est proche alors dans un mouvement vers l’avant plus ample, je l’oblige à sortir. Je me retourne face à lui, m’abaisse très vite en ouvrant la bouche et en me léchant les lèvres pour qu’il comprenne que je veux qu’il jouisse sur mon visage et dans ma bouche. La queue à la main il me regarde dans les yeux en se branlant pour se finir. Il ne faut pas plus d’un ou deux vas et vient avant qu’un premier jet ne vienne s’écraser sur mon visage. Les jets suivant moins puissant tombent sur mes lèvres et dans ma bouche. Je me délecte de ce merveilleux nectar que j’ apprécie vraiment. Je répète souvent qu’aucun sperme n’a le même goût. Il n’y a qu’a mon mari, évidement que je ne tiens pas ce genre de discourt. Le type frotte bien sa queue sur mon visage avant que je ne me redresse et ne prenne un mouchoir dans mon sac pour me nettoyer le visage. Pendant ce temps, l’homme me demande : 

- « Tu fais ca souvent ? »
Je me contente de lui sourire en ajustant ma tenue. Je lui donne un baiser sur les lèvres et juste avant de partir lui dit : 

- « Je dois y aller maintenant, je vais être en retard pour le boulot. »
Le type me regarde m’éloignée et quitter le parc. Il n’a pas eu de réponse à sa question mais il venait de vivre, peut être, un véritable rêve. 

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Par infidele
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Dimanche 7 juin 7 07 /06 /Juin 19:25

J’avais prolongé mon week-end d’un jour car c’était le jour de retours de mon mari. Je ne savais pas l’heure exacte mais je savais qu’il devait rentrer dans le courant de l’après midi. Vers 9h00, je sors faire quelques courses pour préparer un petit repas sympa. je fais mes achats et lorsque je rentre vers 10h30, je remarque une camionnette stationnée dans l’allée de la maison. Le véhicule porte les marques d’une entreprise de jardinage que je connaîs bien. Je me souvient que son mari m’ avais dit les avoir contacté pour certains petits travaux d’aménagement mais je ne savais pas que c’était prévu pour ce jour précis. Le jardin étant accessible sans passer dans l’habitation, il n’était pas vraiment surprenant qu’ils se soient mis au boulot sans ma présence ou celle de Patric. 

Je fais le tour de la maison et voit dans le fond du jardin, un homme qui travail seul accroupis. Il remplace des dalles cassées dans un des sentiers. Je m’approche doucement de lui, c’est un métisse qui doit avoir me semble t il une petite trentaine d’année. La température étant encore estival à cette heure de la journée, le jeune homme travail torse nu et je détaille sa musculature qui travail lorsqu’il fait un petit effort. J’avance toujours lentement vers lui et quand je suis à sa hauteur je lui dis : 

  • -  « Bonjour, je suis Sonia. C’est mon mari qui vous a demandé de venir travailler ici ? »
  • -  « Bonjour madame, je suppose car c’est mon patron qui m’envoie. »
  • -  « Il fait chaud, vous ne voulez pas boire quelque chose ? »
  • -  « C’est vrais, ce serait avec plaisir, merci. »
    Je
    lui fait signe de me suivre et pendant le trajet qui nous emmène dans la cuisine, je le complimente sur son travail. La propriété est assez grande et cela nécessite beaucoup de temps pour l’entretenir. Malheureusement, moi et Patric n’en avons pas énormément et quand nous en avons, nous préfèront le passer ensemble dans une activité de divertissement.
    Arrivé dans la cuisine, je propose au jardinier de s’installer sur une chaise pendant que je prend une boisson fraîche dans le réfrigérateur. Je prend la bouteille qui se trouve le plus bas possible dans le frigo et en profite pour lui exhiber mon cul parfaitement moulé dans une petite mini jupe sexy. L’ouvrier me regarde me pencher en avant et ne perd pas une miette du spectacle qui lui est offert. Je lui sers une citronnade et lui propose une glace. Le jeune homme refuse mais j’en ai très envie alors je vais dans le congélateur me chercher un glaçon long et rond qui a presque la forme d’une grosse queue. Après avoir échangé quelque mot, je déballe la friandise glacée et la lèche, la suce comme si c’était le sexe d’un homme. Je lançe en même temps des regards vicieux au jardinier qui me regarde sans rien dire. Je constate dans ces yeux une excitation naissante et pas seulement dans ces yeux. En baissant le regard vers son entre jambe, je vois une belle bosse déformé son pantalon de travail. En voyant l’effet que je produit sur mon invité, j’écarte lentement les cuisses pour lui dévoiler ma petite chatte nue sous ma mini jupe. Les yeux de l’ouvrier se pose immédiatement sur ce sexe offert alors je frotte doucement mon glaçon sur mon clitos ce qui a pour effet de lui donner de l’ampleur immédiatement sous l’effet du froid et de l’excitation de m’exhiber de la sorte. Le type me regarde et n’en crois visiblement pas ces yeux qu’il n’arrive pas à décoller de mon sexe. Je le regarde souriante avant de lui dire :

- « Pour être franche, je préfère quelque chose de plus chaud. »
L’homme se redresse alors d’un bon et détache son pantalon pour en sortir une belle bite tendue avec le gland turgescent qu’il me montre : 

- « Alors, c’est ça que tu veux ? »
je regarde cette belle queue brandie devant mes yeux et sans attendre plus longtemps la prend dans ma bouche pour la sucer doucement et avec application. Je soupèse une belle paire de grosses couilles visiblement bien pleine pendant que mes lèvres entourent parfaitement la tige qui m’est offerte. Je prodigue ce moment de plaisir depuis quelques minutes quand mon portable sonne. Je m’arrête, le prend en main et constate que c’est mon mari qui m’appelle. Je me redresse et m’installe sur ma chaise les cuisses grandes ouvertes pour que l’ouvrier ne perde rien du spectacle pendant que je répond à mon mari. J’ étais en pleine conversation téléphonique quand ce salopard de métisse s’agenouille et enfuit sa tête entre mes cuisses. Il me lèche et enfonce sa longue langue le plus loin possible dans mon sexe béant. Je pense que ce petit fumier tente de me faire jouir pendant que je parle au téléphone avec mon mari. Celui-ci lui explique d’ailleurs qu’il devrait être de retours à la maison dans 30 minutes. Je dépose le portable après avoir raccroché et dit : 

- « Baise-moi vite, on manque de temps. »
L’ouvrier se redresse et présente sa grosse pine à l’entrée de ma chatte. Il l’enfonce doucement avant de me donner de grand coup de rein de plus en plus rapide. Tout en me baisant, il approche sa bouche de la mienne et m’embrasse. Il me roule une pelle magistrale, je goute encore la saveur de ma chatte que le jeune homme avait léché quelques minutes avant. Maintenant il me défonce littéralement, les pieds de la chaise crissent sur le sol chaque fois qu’il recule en raison des coups de butoir brutaux que me donne le jardinier. D’un coup, il se retire pour éjaculer sur mon sexe alors que moi aussi je venais de jouir. Maintenant c’est la course, il ne me reste que quelques minutes pour me laver et me changer avant de retours de Patric.
Je descend l’escalier lorsque j’ entend la clef tourner dans la serrure de la porte de devant. je me suis changée et j’ai eu le temps de nettoyer les traces de la jouissance de l’ouvrier. Je m’approche de mon mari dans le hall et l’ambrasse sensuellement sur la bouche. Nos langues se caressent dans la bouche de l’un puis de l’autre. 

  • -  « Tu m’as manqué tu sais. »
  • -  « Toi aussi ma chérie tu m’as beaucoup manqué. »
    Dans le jardin, le jeune métisse était accroupis, en plein travail de restauration. Je m’approche de lui, main dans la main avec Patric pour lui montrer son travail. Nous nous embrassons à nouveau puis repartons dans la maison ou nous allons ensemble défaire les bagages puis se cuisiner un petit repas que nous prendrons en amoureux ce soir. 

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Par infidele
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Vendredi 5 juin 5 05 /06 /Juin 14:27

Le football, voila un sport qui est autant capable de rapprocher les gens que de les diviser. Je ne suis pas une fan de ce sport même si parfois je le regarde à la télé ou encore me rend au stade avec Patric quand il y est invité.
Ce week-end, je suis seule car mon mari est parti pour son travail pendant quelques jours en Espagne. Chacun son tour, parfois c’est moi qui m’en vais pour m’occuper de l’organisation de certain voyage d’entreprise, parfois comme cette fois ci, c’est mon homme qui part à l’étranger pour travailler. je m’était plein à un de mes collègues la veille d’être seule pour un samedi soir en lui disant que je n’avais pas vraiment envie de sortir alors celui-ci m’ avais proposé de venir passer la soirée chez lui. Même si c’était pour voir un match de foot à la télé avec deux autres copains, au moins je ne serais pas seule.J’ avais accepté faute d’autre chose et m’étais même proposée d’apporter quelques petits amuses gueules.
Pendant une partie de la journée, je prépare des petits toasts maison et différentes petites bouchées pour passer la soirée en compagnie de ces trois fans de foot. Je décide de faire attention à ne pas être trop provocante pour qu’ils passent plus de temps à regarder le match qu’a me mater et à avoir des envies cochonnes. Je connaîs les hommes mieux que personne. Je décide malgré tout de mettre une mini jupe mi cuisses et un top décolleté mais raisonnablement même si on voit le galbe de mes seins. Ce qui est sage pour moi serait déjà extrêmement sexy pour beaucoup d’autre femme. Il faut aussi avouer que je ne savais pas si je serais la seule présence féminine a cette soirée alors même si  j’aime provoquer les autres femmes, pour ce soir, il valait mieux la jouer relativement cool.
Quand je sonne à la porte, c’est Ivan, le collègue qui m’avait invitée qui vient  m’ouvrir. Il me regarde de la tête aux pieds et me complimente sur ma tenue ce qui me fait penser que tout compte fait, je ne dois pas être si sobre que cela. Il me fait entrer dans le salon et présente André et Jaques, deux copains venu voir le foot eux aussi. 

  • -  « Tu seras la seule femme présente, j’espère que ca ne te dérange pas ? »
  • -  « Pas du tout, j’ai d’ailleurs préparé deux ou trois choses à grignoter. »
    Je tend un sachet à Ivan qui part dans la cuisine pour disposer ce qu’il y a à l’intérieur sur des assiettes avant de tout apporter à table sous les commentaires de satisfaction des deux copains visiblement amateur de bonne chaire.
    Avant que le match ne commence les hommes parlent foot en me demandant de temps à autre mon avis. Je me rend compte que mon opinions les importe peut mais que c’est un prétexte pour tourner leur regard vers moi et pouvoir me mater sans retenue. Pendant le match, je les observe et je constate qu’ils me regardent chacun leurs tours régulièrement et ne me laissent jamais sans une petite attention. Voila qui me réjouis car j’aime plaire avant tout et je constate que même soft à mes propre yeux, j’attire l’attention.
    A la mi-temps je m’adresse au maître de maison pour lui demander ou sont les toilettes. Il se lève et me demande de le suivre, qu’il va me montrer ou elle se trouve. Les WC se trouvent à l’étage et mon envie était bien autre que de m’y rendre. j’étais été assez excitée par toutes ces attentions envers moi et quelques réflexions coquines. Lorsque je me trouve dans le hall de nuit en compagnie d’Ivan qui me montre le petit endroit, je pointe le doigt vers une autre porte : 

- « Et derrière cette porte ? » 

- « C’est ma chambre. »
Sans dire un mot, j’avance et l’ouvre pour y entrer. C’est une grande chambre avec un mobilier et une décoration très moderne. Ce qui m’étonne, c’est l’ordre qui règne dans cette pièce. Souvent les chambres de célibataires sont assez bordéliques mais ici ce n’est pas du tout le cas. Au centre de la pièce, il y a un grand lit recouvert d’une couverture de couleur assez vive. Je m’en approche puis m’y installe à genoux, le cul tourné vers mon collègue qui m’observe sans rien dire. je tortille un peu du cul avant de prendre ma jupe d’une main et de la remonter lentement le long de mes fesses. Le tissu sur cette partie de mon anatomie me prodiguait une caresse particulière qui augmentait encore mon excitation. J’entend un petit « ouf » d’excitation quand ma jupe est suffisamment remonté haut et que Ivan peut remarquer que je ne porte pas le moindre sous vêtement. C’est ce moment précis que je choisis pour lui dire : 

- « Baise-moi. »
L’homme s’approche de moi et pose ces mains sur mon cul et il me caresse et me malaxe les fesses avec excitation alors je répète : 

- « Baise-moi. »
En réalité, depuis mon arrivée, j’avais envie de me faire mettre et j’ étais même maintenant persuadée qu’en acceptant l’invitation, j’avais déjà inconsciemment envie de me faire baisée.
Ivan défait son pantalon et amène son gland à l’entrée de mon sexe avant de me pénétrée lentement, centimètre par centimètre. Je le sens s’insinuer en moi doucement et profite de chaque seconde de plaisir. Quand il est bien au fond, il se retire toujours aussi lentement avant d’y retourner mais cette fois plus vite et plus vigoureusement. La vitesse à la quelle il me lime s’accélère de plus en plus inspiré par l’excitation qui grandit a chaque coup de queue qu’il donne. Je le sens de plus en plus chaud, il va de plus en plus loin, il me baise de plus en plus profondément et c’est ce que j’aime. Il souffle, il gémit puis d’un coup se retire et éjacule sur mon derrière offert.Je sens couler ce liquide chaud par saccades. Je l’étale d’une main sur mes fesses comme une huile bienfaisante.
Quand je me retourne enfin, je vois Jaques et André adossés au mur. Ils venaient de se branler et de jouir en me regardant me faire défoncée par leur copain.
Je me redresse et tire sur ma jupe sans m’occupé du foutre étalé sur mon postérieur puis me place devant Ivan pour lui rouler une pelle d’enfer. Je m’approche ensuite de ces deux copains footeux, pose chacune de mes mains sur leurs couilles respective et les tripotent en les embrassant à pleine bouche à tour de rôle. mes lèvres se posent sur celle d’André avant que ma langue ne pénètre la bouche de cet homme puis je fais de même avec Jaques en gardant bien leurs burnes dans mes mains. Ivan m’observe embrasser ses deux potes en leur palpant les parties intimes. Il se certainement dit que sa collègue est vraiment une belle salope.
Quand je remonte dans ma voiture après avoir quitté les trois hommes pour les laisser regarder en paix le fin de la deuxième mi-temps, je me dis que j’aurais peut-être du rester pour les refaire bander et qu’ils me baisent ensemble. Ce sera pour une autre fois certainement. Maintenant, il est l’heure de rentrer car Patric risque de téléphoner et il serait dommage qu’il le fasse pendant que je me fait prendre. 

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Par infidele
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Vendredi 29 mai 5 29 /05 /Mai 15:26

Je profite souvent de ma pause de midi que je n’hésite pas à prolonger pour faire quelques courses en grande surface. J’aime ce moment pour faire les achats ménagés car il fait souvent calme et ça me permet de déambuler dans les rayons sans être bousculée et de regarder ce qui m’intéresse à mon aise. C’est aussi à ce moment qu’il y a le plus d’homme seul dans ce genre de magasin et comme j’aime être matée, on peut dire que ça tombe plutôt bien d’autant plus que la tenue que je porte ne les laisse visiblement pas indifférent. Il faut bien avouer que la longueur de ma jupe moulante est très audacieuse et la profondeur de mon décolleté attirant pour le regard des mâles. Je remarque que beaucoup d’hommes se retournent sur mon passage et me regarde jusqu'à ce que je disparaisse au coin d’un présentoir. Il y en a même qui me suivent pour profiter de la vue plus longtemps mais cela ne me gêne pas, bien au contraire, on peut dire que ca m’excite. Pendant ma petite balade au fil des rayonnages, je passe dans celui des chaussures. J’aime les chaussures et je remarque une paire de botte avec de très haut talon qui me plaise beaucoup. Je cherche ma pointure et après avoir fouillé dans l’étalage désordonné, j’en trouve une. Je m’assied sur le petit banc fixé à un pilier au milieu de l’allée et regarde autours de moi. Je vois un homme d’une cinquantaine d’année en costume cravate qui m’observe à quelques mètres. Je ne sait pas depuis combien de temps il est entrain de me regarder. En voyant que je lève les yeux sur lui, il me sourit sympathiquement. Je répond au sourire de cet inconnu par un large sourire et je décide de me laisser aller à mes penchant légèrement exhibitionniste. Je me place parfaitement face à lui pour enfiler les bottes en prenant soin d’ouvrir suffisamment mes jambes pour que cet inconnu se rende compte que je ne porte rien sous ma mini jupe et ainsi lui montré mon sexe parfaitement épilé. Je fais ce petit manège négligemment pendant que le type me découvre avec grand plaisir en s’approchant doucement de moi. Quand j’ai enfilé la deuxième botte, je vois deux pieds planté devant moi alors je lève les yeux et constate qu’il s’agit du gars du bout de l’allée. Il était là, planté devant moi en me regardant de haut. Il parait plus grand a mes yeux maintenant. Cette position lui donne un air de supériorité, de domination ce qui n’est pas vraiment pour me déplaire. Cet homme avait son sexe juste devant mon nez alors je regarde autours de moi si personne ne se profile à l’horizon puis je lève doucement une main pour la posé par-dessus son pantalon sur le sexe raide de ce voyeur. Je lève à nouveau le regard vers lui avec mes yeux de salope soumise. C’est ce moment qu’il choisit pour prendre la parole pour la première fois d’une voix grave et autoritaire : 

- « Tu la veux conasse ? »
C’est de cette manière que j’aime qu’on me parle et c’est ce genre de parole qui m’excite alors je lui fait un signe « oui » de la tête avant de me lever en lui disant : 

- « Il y a des cabine là bas. »
Le mec me suit vers ces fameuses cabines d’essayages en matant mon cul bien moulé dans une jupe qui m’arrive quand même au ras des fesses. Je m’engouffre à l’intérieur de l’une d’entre elle et m’assied sur un petit tabouret dans un coin. Le mateur y entre à son tour et se plante devant moi sans rien dire en me laissant prendre les initiatives. Je pose une fois de plus ma main sur la queue de cet inconnu avant de détacher son pantalon pour en sortir une queue bien raide que je me met à sucer immédiatement. Je le pompe avidement en levant de temps en temps les yeux pour voir l’expression de son visage. Sa queue est vraiment raide et de petits bruits de succion rompent un silence imposé par une discrétion obligatoire. Le type ferme les yeux régulièrement ce qui témoigne de son plaisir.  J’en profite pour sortir un préservatif de mon sac et je lui enfile avec dextérité en continuant mes caresses buccales pour être certaine qu’il ne débande pas. Cette précaution prise, je me redresse et pose deux mains contre la paroi de la cabine en me cambrant bien en arrière. Je le sent venir placer son sexe à l’entrée de ma chatte puis d’un coup sec, il me pénètre en lâchant un petit souffle de plaisir discret. Il m'agrippe par les hanches et débute un mouvement de vas et vient qui se fait de plus en plus rapide au fils des secondes qui passent. Nous entendions tout les deux passer les gens qui venaient essayer des vêtements sans se douter de ce qui se passait dans cette cabine. C’était encore plus excitant de savoir qu’ils peuvent être découverts à tout moment. J’espérait même que dans ce cas là, mon inconnu baiseur ne s’arrêterait pas. Pour l’instant, il me pilonne toujours vigoureusement mais je veux encore autre chose. je prend appuis d’une seule main en cherchant l’équilibre puis de l’autre, j’écarte une de mes fesses pour faire comprendre à ce mec que je veux sa grosse queue dans mon cul. Quand il voit ce petit manège, sans hésiter il se retire pour la fourrée brutalement dans mon petit trou. Les coups de rein étaient encore plus violent et je devais me tenir à deux main pour amortir les choques et évité de me retrouver assommée sur la paroi de la cabine. Il me tient fermement et me défonce de plus en plus violement puis d’un coup, il se plante au fond de mon cul pour jouir en soufflant très fort. Après s’être vidé les couilles, il se retire, enlève le préservatif, ajuste sa tenue puis quitte la minuscule pièce témoin de nos ébats sans me dire le moindre mot. J’aime être traitée de la sorte, me sentir utilisée. J’ajuste moi aussi ma tenue avant de faire maintenant réellement mes courses de ménage. Pendant l’après midi passé au boulot, je repense souvent à cette baise dans une grande surface et je me dit qu’il faudra remettre cela un de ces jours. 

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Par infidele
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