Partager l'article ! 5 : Le fils d'un copain: Samedi, 10h00 du matin, je me prépare pour aller faire un peu de shopping. Patric est absent en raison de son boulot co ...
Samedi, 10h00 du matin, je me prépare pour aller faire un peu de shopping. Patric est absent en raison de son boulot comme la plus part des samedis. Il est vrai
que ce n’est pas toujours la journée idéale pour faire les boutiques car il y a du monde mais il y a des moments ou j’ aime être dans la cohue des courses ménagère. C’est toujours moins
désagréable de se retrouver dans ce genre de masse humaine quand on n’a justement pas vraiment de courses à faire. Ce genre d’achat, je les fait souvent pendant ma pause de midi ou pendant un
moment libre lors d’une journée de travail plus calme. Aujourd’hui, ce sera vraiment balade et achat éventuel d’un truc ou l’autre qui me plait. Ce qui me plait aussi lors de ces journées, c’est
le regard que posent les hommes qui accompagnent leur femme sur moi. J’aime entendre des bribes de conversations pendant les quelles leur chère et tendre épouse leur reproche de me mater.
j’entend même parfois des mots assez grossiers ou des insultes envers moi et paradoxalement, ça m’excite beaucoup. Je ne me prive d’ailleurs pas pour mettre des tenues très sexy pour ce genre de
sortie diurne. aujourd’hui j’ai opté pour une petite robe blanche très courte et moulante zippée sur le devant et des chaussures à très haut talon. Je sais que dans cette tenue, Je ne laisserai
probablement aucun mari indifférent.
C’est au moment ou je m’apprête à sortir que la sonnette de la porte d’entrée retentit. Je vais ouvrir et devant moi se tient Jean, le fils de Pierre, un ami de longue date. Le gamin à 19 ans, il
est grand blond, de beaux yeux bleu, sportif, bien bâtit, en quelque sorte, on peu le qualifier de beau mec.
- « Alors jeune homme, on mate ? »
Le garçon reste bouche bée devant mon audace. Il est pétrifié par sa propre timidité et ne sait quoi répondre. Il était pris la main dans le sac et cela le mettait mal à l’aise. Devant le malaise
du jeune homme, je décide d’aller encore plus loin alors en montrant son entre jambe, je lui dis :
- « Et il me semble qu’on bande aussi ? »
Je voyait juste, il bandait comme un âne. Je voulais en voir plus, en toucher plus alors je me suis accroupie devant Jean et lui ai abaissé son training d’un coup sec. Il n’a pas émis la moindre
résistance et j’ai découvert une belle queue tendue pointant vers le ciel. J ‘ai a posé ma main dessus et l’ai caressée en regardant l’homme dans les yeux. Il me laissait faire en me
regardant le branler et lui palper les couilles sans rien dire.Je me suis alors penchée sur cette tige pour la prendre dans ma bouche et la sucer lentement. C’est a cet instant précis qu’il est
sortit de la bouche de mon invité un premier râle de plaisir. Moi, avide de ce genre de chose le suce, le lèche en lui tripotant les burnes sans arrêt. Je savais qu’il ne pourrait pas subir ce
traitement bien longtemps avant de jouir mais je voulais me faire mettre. Je savais aussi que la timidité de ce jeune homme l’empêcherait de prendre toute forme d’initiative alors c’est moi qui
devait prendre les devant.
Je m’arrête de le sucer, me redresse et monte moi-même dessus. Je place sa queue à l’entrée de mon sexe et redescend lentement pour sentir cette queue entrer tout au fond de moi. J’ entame alors
un mouvement de bas en haut de plus en plus rapide. La bite du jeune homme entre et ressort de ma grotte d’amour avec une grande facilité. Jean regardait mes seins se balancer au rythme des
pénétrations malgré le fait qu’il soit toujours dans ma robe moulante. Je ne m’étais même pas déshabillée pour me faire baisée. Je regarde le visage du garçon qui se remplissait de jouissance. Je
comprend qu’il ne va pas tarder à jouir alors je m’adresse à lui :
- « Ou veux tu te vider les couilles ? »
Jean était encore plus excité en m’entendent lui parler vulgairement mais sa timidité encore une fois l’empêchait de dire ce qu’il pensait vraiment.
- « Alors dit moi ou tu veux te vider les couilles bordel ? »
Je prononçait ces paroles en soufflant et en gémissant presque entre chaque syllabe. Lui ne répondait pas, il fermait les yeux de plaisir en gémissant de plus en plus fort. Sa respiration
s’accélérait. Je sentait qu’il allait jouir alors je me redresse en lui disant d’un ton excité :
- « Je veux que tu décharge sur ma gueule. »
Je m’allonge alors sur le divan, le jeune homme se lève et vient se masturber juste au dessus de ma figure. Je suis la allongée, la bouche ouverte, la langue sortie, occupée a m’agiter avec les
deux doigts que je me suis fourrer dans la chatte pour me faire jouir en attendant de me prendre le foutre de Jean sur la face et dans la bouche. Je me lèche les lèvres en gémissant ce qui
provoque chez le garçon une jouissance rapide. Des jets de sperme viennent s’étaler sur mon visage et dans ma bouche. Je tourne la langue pour ramasser et avaler le plus que je peux. En même
temps je jouis moi aussi dans un cri de plaisir sensuel et cochon.
Quand je reviens dans le salon après m’être nettoyer le visage, le jeune homme n’est plus la, il est partit certainement plus léger que quand il est arrivé.
Je me demande aussi s’il en parlera à son père et je sais que si c’est le cas, celui-ci voudra certainement le même traitement que son fils. Ce que je sais par contre, c’est que je n’en parlera
pas à mon mari.
Mai 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|
Derniers Commentaires