Non catégorisé

Mercredi 27 mai 3 27 /05 /Mai 16:00

Un des employés de l’immeuble ou je travail avait organisé une petite réception chez lui à l’occasion de son anniversaire. Il voulait que cela se passe le vrai jour comme on le dit communément. Etant né le premier septembre, c’est un mardi soir que furent convié les collègues et amis à se rendre chez lui. Je fais partie des invités. Je m’y rend seule car mon mari est en réunion. Arrivée sur place, je constate que la plus part des invités présent sont des collègues avec parfois leur conjoint et quelques amis de Luc, l’homme fêté ce soir. En raison de ma fonction d’organisatrice d’évènements pour les entreprises de l’immeuble, j'ai l’habitude de dialoguer avec beaucoup de gens. Je me sens à l’aise aussi bien dans les soirées mondaines que dans les soirées d’anniversaires comme celle-ci. D’autant plus que les hommes m’abordent facilement et m’apportent régulièrement un verre pour être en ma compagnie quelques minutes et ainsi pouvoir se rincer l’œil. Il est vrai qu’aujourd’hui encore je porte une tenue faite pour attirer le regard des hommes et provoquer la jalousie de leur femme. Avec mes petites bottes à haut talon, ma mini jupe noir très courte qui dévoile mes  jambes bronzées et mon top profondément décolleté qui dévoile une petite poitrine aussi bronzée et sans la moindre marque de maillot, j’attire toutes les attentions et les commentaires. 

Je passe d’un petit groupe à l’autre au fur et à mesure que les gens m’accostent. Je discute de tout et de rien, de choses sans importance le plus souvent. Comme souvent dans ce genre de soirée organisée dans une habitation, il y a des groupes d’invités dispersé dans toutes les pièces de la maison. Je déambule du salon à la salle à manger puis la véranda, le hall et même dans les chambres qui sont elles aussi occupées par des invités occupé à blaguer. Je n’hésite pas à jouer de mes charmes pour allumer l’un ou l’autre de ces messieurs. 

Au cours de la soirée, je remarque que Luc, célibataire de 32 ans, s’affère à ramasser les verres vides déposés sur les tables, les accoudoirs et les appuis de fenêtres. Je me dirige vers lui avec un plateau vide que j’avais ramassé sur une table en passant et lui propose mon aide. Je remplis le plateau de verre vide et suis Luc dans la cuisine ou je le dépose sur le plan de travail. Pendant que mon collègue remplis le lave vaisselle, je ferme la porte de la cuisine et m’assied sur la petite table de bois placée contre le mur juste en face de la machine. j’observe Luc placer les verres avec minutie pour évité qu’ils ne se cassent ou ne s’entre choc pendant le programme de lavage. L’homme se sentant observé se retourne d’un coup vers moi d’un air interrogateur. J’en profite pour décroiser les jambes et les recroiser dans l’autre sens en donnant suffisamment d’ampleur à mon geste pour qu’il voie que je ne porte rien sous ma mini jupe. Luc reste alors le regard fixe sur mon entre jambe, il n’en revient pas de ce qu’il découvre. Voila le genre de chose qui m’excite alors j’ouvre les cuisses et me touche la chatte sans retenue devant ces yeux ébahis. J’étais trempée d’excitation et lui bandait comme un porc. 

- « Sors ta queue, tu as bien droit à ton cadeau d’anniversaire. »
Sans dire un mot, l’homme s’est redressé, a détaché son pantalon et a sortit son sexe. je suis descendue de la table et je me suis accroupie pour prendre immédiatement cette queue raide dans la bouche. Je la suce quelques courtes minutes car j’ai trop envie de me faire baisée. Ensuite je m’assied à nouveau sur la table en ouvrant mes guiboles au maximum et je lui a fais signe de venir me prendre. La porte de la cuisine était fermée mais pas à clef et nous savions tout les deux que quelqu’un pouvait entrer à n’importe quelle moment et cela augmentait encore l’excitation. J’observe la grosse pine de Luc pénétrer dans ma chatte humide et commencer un mouvement de vas et vient. L’homme retenait ses gémissements quand à moi, je me mordait les lèvres pour rester silencieuse. On entendait au travers de la porte, la musique et les éclats de rires des invités qui étaient loin de se douter de ce qui se passait dans la cuisine juste à coté d’eux. Luc allait de plus en plus vite, il me limait en me fixant dans les yeux, je faisais de même et nous pouvions lire tout deux notre excitations respectives ainsi que la jouissance qui montait préambule à une explosion de plaisir qui allait arriver sans tarder. En effet, d’un coup le type se retire et des jets de liquides chauds viennent s’écraser sur mon sexe et mon ventre. Je regarde ce spectacle après avoir moi-même jouit. D’une main, j’étale ce miel visqueux sur ma chatte et sur mon corps. mon collègue me regarde me caresser avant de se pencher vers moi pour m’embrassée. Il me donne un long baiser sensuel avant de se redressé et de me dire : 

- « C’est certainement le plus beau cadeau d’anniversaire que j’ai reçu aujourd’hui. » je lui souris puis me redresse pour aller vers l’évier.
Quand je rejoins les autres invités, personne n’a remarqué notre absence, pas de commentaires et c’est très bien comme ça. La suite de la soirée a elle aussi été excellente plaine de rire et de joie. 

Vers 2h00 du matin, je décide de rentrer. Patric est déjà à la maison, il regarde la télévision. Je monte immédiatement dans la salle de bain pour me changer et mettre un peignoir avant de redescendre dans les bras de mon mari. 

  • -  « Tu t’es déjà changée ? »
  • -  « Oui, je suis crevée pourquoi ? »
  • -  « J’avais envie de voir ce que tu portais ce soir. »
  • -  « Rien d’extraordinaire tu sais. »
  • -  « Et la soirée d’anniversaire ?
  • -  « C’était chouette, il était très content de ces cadeaux »
    nous
    sommes ensuite montés tout les deux, main dans la main et je me suis endormie dans les bras de mon mari. 

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Par infidele
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Lundi 25 mai 1 25 /05 /Mai 20:52

Samedi, 10h00 du matin, je me prépare pour aller faire un peu de shopping. Patric est absent en raison de son boulot comme la plus part des samedis. Il est vrai que ce n’est pas toujours la journée idéale pour faire les boutiques car il y a du monde mais il y a des moments ou j’ aime être dans la cohue des courses ménagère. C’est toujours moins désagréable de se retrouver dans ce genre de masse humaine quand on n’a justement pas vraiment de courses à faire. Ce genre d’achat, je les fait souvent pendant ma pause de midi ou pendant un moment libre lors d’une journée de travail plus calme. Aujourd’hui, ce sera vraiment balade et achat éventuel d’un truc ou l’autre qui me plait. Ce qui me plait aussi lors de ces journées, c’est le regard que posent les hommes qui accompagnent leur femme sur moi. J’aime entendre des bribes de conversations pendant les quelles leur chère et tendre épouse leur reproche de me mater. j’entend même parfois des mots assez grossiers ou des insultes envers moi et paradoxalement, ça m’excite beaucoup. Je ne me prive d’ailleurs pas pour mettre des tenues très sexy pour ce genre de sortie diurne. aujourd’hui j’ai opté pour une petite robe blanche très courte et moulante zippée sur le devant et des chaussures à très haut talon. Je sais que dans cette tenue, Je ne laisserai probablement aucun mari indifférent.
C’est au moment ou je m’apprête à sortir que la sonnette de la porte d’entrée retentit. Je vais ouvrir et devant moi se tient Jean, le fils de Pierre, un ami de longue date. Le gamin à 19 ans, il est grand blond, de beaux yeux bleu, sportif, bien bâtit, en quelque sorte, on peu le qualifier de beau mec. 

  • -  « Jean, comment vas-tu ? Que me vaut l’honneur de ta visite ? » 
  • -  « Bonjour, je viens voir si mon père est ici, il ne répond pas sur son portable. » 
  • -  « Non il n’est pas là mais entre, je t’en prie. »
    Le jeune homme détaille ma tenue avant d’entrer. Il n’est pas insensible à mon style. Il entre enfin et je le dirige vers le salon ou je lui montre le grand fauteuil devant la porte fenêtre pour qu’il s’y installe. Il à l’air assez tendu, son jeune âge le rend encore très timide et c’est un peu normal, il faut l’avouer. Pour le détendre je lui parle de banalités de la vie et de ces études. En discutant, je m’installe juste en face de lui, bien installée dans le fond d’un fauteuil et je croise mes jambes bien haut. Je sais que d’où il se trouve, il doit quasiment pouvoir mater mon cul tellement ma robe est courte. Jean qui est vêtu d’un training blanc m’explique qu’il devait le retrouver pour faire un tennis. Pendant qu’il m’expliquait cela, je remarque que le jeune homme pose régulièrement ces yeux sur mes cuisses largement offerte. Je pose également mon regard sur la partie intime de l’anatomie de mon invité surprise et constate une belle bosse sous son pantalon de sport qu’il a beaucoup de mal a dissimuler. 
  • -  « Veux-tu boire quelque chose ? » 
  • -  « Heu oui, avec plaisir. »
    Je me lève pour aller à la cuisine chercher un verre et une bouteille de coca cola. Quand je reviens, je pose le verre sur la table basse et me penche très fort en avant pour vider le liquide à l’intérieur. Jean en profite pour jeter un œil dans mon décolleté et ne peut plus s’en détacher. Il doit voir presque entièrement mes seins nu sous ma robe blanche des plus sexy. Il faut dire qu’un zip se règle comme on veut et je n’avait pas fait les choses à moitié, l’ouverture était à la limite indécente. 

- « Alors jeune homme, on mate ? »
Le garçon reste bouche bée devant mon audace. Il est pétrifié par sa propre timidité et ne sait quoi répondre. Il était pris la main dans le sac et cela le mettait mal à l’aise. Devant le malaise du jeune homme, je décide d’aller encore plus loin alors en montrant son entre jambe, je lui dis : 

- « Et il me semble qu’on bande aussi ? »
Je voyait juste, il bandait comme un âne. Je voulais en voir plus, en toucher plus alors je me suis accroupie devant Jean et lui ai abaissé son training d’un coup sec. Il n’a pas émis la moindre résistance et j’ai découvert une belle queue tendue pointant vers le ciel. J ‘ai a posé ma main dessus et l’ai caressée en regardant l’homme dans les yeux. Il me laissait faire en me regardant le branler et lui palper les couilles sans rien dire.Je me suis alors penchée sur cette tige pour la prendre dans ma bouche et la sucer lentement. C’est a cet instant précis qu’il est sortit de la bouche de mon invité un premier râle de plaisir. Moi, avide de ce genre de chose le suce, le lèche en lui tripotant les burnes sans arrêt. Je savais qu’il ne pourrait pas subir ce traitement bien longtemps avant de jouir mais je voulais me faire mettre. Je savais aussi que la timidité de ce jeune homme l’empêcherait de prendre toute forme d’initiative alors c’est moi qui devait prendre les devant.
Je m’arrête de le sucer, me redresse et monte moi-même dessus. Je place sa queue à l’entrée de mon sexe et redescend lentement pour sentir cette queue entrer tout au fond de moi. J’ entame alors un mouvement de bas en haut de plus en plus rapide. La bite du jeune homme entre et ressort de ma grotte d’amour avec une grande facilité. Jean regardait mes seins se balancer au rythme des pénétrations malgré le fait qu’il soit toujours dans ma robe moulante. Je ne m’étais même pas déshabillée pour me faire baisée. Je regarde le visage du garçon qui se remplissait de jouissance. Je comprend qu’il ne va pas tarder à jouir alors je m’adresse à lui : 

- « Ou veux tu te vider les couilles ? »
Jean était encore plus excité en m’entendent lui parler vulgairement mais sa timidité encore une fois l’empêchait de dire ce qu’il pensait vraiment. 

- « Alors dit moi ou tu veux te vider les couilles bordel ? »
Je prononçait ces paroles en soufflant et en gémissant presque entre chaque syllabe. Lui ne répondait pas, il fermait les yeux de plaisir en gémissant de plus en plus fort. Sa respiration s’accélérait. Je sentait qu’il allait jouir alors je me redresse en lui disant d’un ton excité : 

- « Je veux que tu décharge sur ma gueule. »
Je m’allonge alors sur le divan, le jeune homme se lève et vient se masturber juste au dessus de ma figure. Je suis la allongée, la bouche ouverte, la langue sortie, occupée a m’agiter avec les deux doigts que je me suis fourrer dans la chatte pour me faire jouir en attendant de me prendre le foutre de Jean sur la face et dans la bouche. Je me lèche les lèvres en gémissant ce qui provoque chez le garçon une jouissance rapide. Des jets de sperme viennent s’étaler sur mon visage et dans ma bouche. Je tourne la langue pour ramasser et avaler le plus que je peux. En même temps je jouis moi aussi dans un cri de plaisir sensuel et cochon.
Quand je reviens dans le salon après m’être nettoyer le visage, le jeune homme n’est plus la, il est partit certainement plus léger que quand il est arrivé.
Je me demande aussi s’il en parlera à son père et je sais que si c’est le cas, celui-ci voudra certainement le même traitement que son fils. Ce que je sais par contre, c’est que je n’en parlera pas à mon mari.

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Samedi 23 mai 6 23 /05 /Mai 20:02

Patric, mon mari a une vieille montre qu’il a héritée de son grand père. Cette montre ne fonctionnait plus et lorsque j’en ai parlé au boulot, un collègue m’a dit que son frère est horloger. Il m’a aussi dit qu’il le voie le week-end suivant et que si je le veux, je peux lui apporter la montre, qu’il la lui remettra lorsqu’il se verrait. 

quelques jours plus tard, Marc entre dans mon bureau pour m’annoncer que la montre est réparée et que je peux la récupérer quand je le veut chez son frère. Marc en profite pour détailler ma tenue qui se compose d’une jupe très courte, de chaussure a haut talon et d’un chemisier largement ouvert qui de certains angles doit dévoiler le galbe de mes seins. Avant de quitter le bureau, il me donne l’adresse de la bijouterie et le numéro de téléphone. 

A peine est il sortit que je prend le combiné pour appeler le bijoutier et lui demander si je peux passer chercher la montre juste avant midi. L’homme à l’autre bout du fil me répond très aimablement que cela ne pause aucun problème et qu’il m’attendrait.
Il est 11h30 quand je quitte mon bureau pour aller chercher la montre de mon mari. Je monte dans ma voiture et programme l’adresse exacte sur le GPS pour ne pas a devoir chercher et par la même occasion faire attendre le commerçant outre mesure. 

Une petite demi-heure plus tard je me trouve devant une petite bijouterie dans un immeuble ancien. Deux vitrines de taille moyenne sont séparées par une porte d’entrée en verre dépolis. Les bijoux et les montres exposées ont l’air d’être de très bonne qualité. Après m’être attardé sur la vitrine deux petites minutes, j’entre dans la boutique. Dès l’ouverture de la porte une sonnerie retentit à l’intérieur et s’arrête dès sa fermeture. L’intérieur de la bijouterie est composé de grande vitrine bien éclairée sur la droite, parfaitement achalandées et décorée avec goût. Sur la gauche il y a un long comptoir en bois peint sur le quel sont disposé des présentoirs de bijoux Pandora, des boucles d’oreilles fantaisies et des bracelets de cuirs. Un homme d’une cinquantaine d’année me regarde entrer en me souriant. Arrivée devant lui, je me présente en lui disant que c’est moi qui ai téléphoné plutôt dans la journée. Il m’observe de la tête aux pieds avant de me dire en quittant la pièce pour se diriger vers l’arrière de la boutique : 

- « Mon frère m’a parlé de vous. »
Je me demandait ce que Marc avait bien pu lui raconter à mon sujet alors quand il revient je lui pose la question directement : 

  • -  « Vous me dites que Marc vous a parlé de moi ? J’espère que c’est en bien ? » 
  • -  « Evidement, ne vous inquiétez pas. »
    En me répondant, le commerçant dépose la montre sur le comptoir. Je l’admire car elle est plus belle que ce qu’elle avait imaginé. Elle était parfaitement nettoyée et brillait sous l’abondant éclairage de la boutique. 
  • -  « Magnifique, vous avez fait de l’excellent travail. » 
  • -  « Merci Madame, c’est vraiment une très belle montre vous savez. » 
  • -  « J’aimerais quand même savoir ce que vôtre frère à bien pu raconter sur moi. » 
  • -  « Il m’a dit que vous n’hésitiez pas à payer de vôtre personne. » 

Il me parle de la sorte sans la moindre gêne convaincu qu’il est de ne pas du tout me choquer. De mon côté, je ne suis pas vraiment étonnée que Marc tienne ce genre de discourt car il me connait malgré tout depuis pas mal de temps. Je me dit que s’il se fie au discourt de son frère, le bijoutier s’attend certainement à être payé avec une autre méthode que de l’argent. Le commerçant regarde dans mon décolleté en attendant une réaction de ma part. Je plonge mes yeux dans les siens et avec un regard des plus cochons et je lui dis : 

  • -  « Si tu as envie que je te suce la queue, tu n’as qu’as le dire. » 
  • -  « Ho putain, il avait ainsi raison le frangin, alors, viens ici, viens sucer ma grosse queue »
    Le temps pour moi de faire le tour du comptoir et le type est déjà la queue raide à la main et les couilles sorties. Il a une grosse bite bien épaisse comme je les aime et une bonne paire de burnes bien grosses. En voyant cela, je m’abaisse immédiatement et lui palpe les burnes avant de le branler doucement. Je lui donne ensuite quelques coups de langues sur le gland avant de le prendre en bouche en lui palpant les couilles. Je commence alors à le sucer goulument en faisant monter en moi une excitation qui me faisait baver de plaisir. Le mec regarde mes nibards qui ballotaient nu sous mon chemisier profondément décolleté. 
  • « Merde, tu suce vraiment comme une pute. »
    Voila exactement le discourt qui m’excite encore plus. Je m’active de plus en plus sur le chibre de cet homme en lui touchant les couilles. Le type passe sa main dans mes cheveux. nous savons tout les deux que la jouissance ne tardera certainement pas alors quand il la sent venir, le frère de marc poigne dans mes cheveux pour me foutre sa queue profondément dans ma gorge avant de se vider en moi en me disant dans un râle de plaisir : 

- « prend ça salope, avale pouffiasse. »
Je sens alors le sperme de ce mec se déversé en trois saccades dans le fond de ma gorge. j’avale consciencieusement le liquide chaud qui se déverse et garde la bite de ce bijoutier bien au fond de ma bouche jusqu'à ce qu’elle se ramollisse. Il ne faut que quelques secondes pour que le sexe de l’homme ne soit redevenu d’une taille moins imposante. Je me redresse, prend la montre sur le comptoir puis en faisant le tour de celui-ci, je m’adresse au frère de Marc en lui disant : 

  • -  « Je pense que tout est en ordre ? » 
  • -  « Bien sur Madame, vous pouvez revenir pour des problèmes de montres quand vous voulez. »
    Le soir venu, Je rend la montre à mon mari. Patric trouvait l’objet magnifique, et tout comme moi, il ne s’imaginait pas que cette montre pouvait être aussi belle alors il me demande : 
  • -  « Ca n’a pas couté trop chère cette réparation ? » 
  • -  « Tu sais bien que c’est le frère d’un collègue, il m’a fait un excellent prix. » Je souris en lui répondant car j’ai  encore dans son esprit la manière dont j’ai traité l’horloger. J’en était encore excitée et c’est mon mari qui ce soir allait en profiter.

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Jeudi 21 mai 4 21 /05 /Mai 16:16

N'hésitez pas a commenter mes recits d'infidélités, mes images et photos

Il n’y avait que quelques semaines que mon bureau avait été totalement remis à neuf. C’est moi qui avait choisi la couleur des murs et de la moquette qu’ils ont posé sur le sol. je suis restée très sobre dans mes choix ce qui tranche avec les tenues vestimentaires que je porte la plus part du temps qui elles n’ont rien de sobre ou de sage. Après quelque semaine, un petit gondolement est apparu dans le tapis juste en face de mon bureau alors j’ai fait appel à la firme et le patron lui-même s’est déplacé pour constater le problème. Il m’a dit qu’il enverrait un ouvrier en me demandant si le jeudi 27 août me conviendrait. 

je suis dans mon bureau, occupée à faire des rechercher pour une journée sportive qu’une des entreprises a l’intention d’organiser pour son personnel quand on frappe à la porte. Je me lève comme d’habitude pour aller ouvrir et découvre un jeune homme qui ne doit pas avoir plus de 25 ans. Il est assez grand, cheveux noir, des yeux brun qui respirent une certaine timidité. 

- « Bonjour Madame, je suis Thierry, je viens m’occuper de ce petit problème » Du doigt, il désigne l’emplacement ou la moquette gondole devant mon bureau. 

  • « Bonjour Thierry, je suis Sonia, entrez, je vous en prie. »
    Le garçon entre et s’agenouille immédiatement pour tâter le tapis.  quand à moi, je reprend place derrière mon bureau et continue mes recherches. De temps en temps, je regarde discrètement le jeune homme faire son travail et constate qu’il a régulièrement le regard fixé sous mon bureau. Je comprend qu’il est entrain de mater mes cuisses par-dessous le meuble. 
  • Je décroise alors les jambes lentement pour les recroiser en sens inverse très sensuellement pour offrir à ce jeune ouvrier le spectacle qu’il désire certainement. Je constate qu’il transpire de plus en plus en travaillant. Je me sens de plus en plus excitée d’être reluquée de la sorte alors après avoir fait ce petit jeu pendant quelques minutes, j’ouvre les cuisses sans les refermées pour que ce mec ait une vue imprenable sur le tout petit string blanc que je porte sous ma mini jupe. L’ouvrier n’en peut visiblement  plus, je vois qu’il bande comme un âne en matant. 
  • C’est quand il voit que je commence à me caresser qu’il ne tient plus et file sous le bureau pour s’en occupé lui-même avec sa langue. Je m’avance sur le bord de mon fauteuil en ouvrant largement mes jambes pour lui laisser un accès facile. Je sens la langue de ce type s’insinuer entre mes lèvres chaudes et trempée de désir avant de s’enfoncer aussi loin qu’il peut dans mon sexe. Je passe mes mains dans ces cheveux, les agrippe parfois pour tirer sa tête encore plus entre mes cuisses et qu’il aie encore plus loin avec sa langue. Je le laisse faire jusqu'à ce que je jouisse puis je le repousse avant de lui dire : 
  • -  « Maintenant tu vas me baisée. » 
  • -  « Oui madame. »
  • Le jeune homme me répond comme un enfant qui répond a sa maitresse d’école en me regardant timidement dans les yeux. Moi qui suis de nature soumise, je suis un instant désemparée car je me sens dominatrice avec ce jeune homme. Ce n’est pas pour me déplaire car le jeu, j’aime ça et je sais me comporter contre nature pour mon plaisir et celui de l’autre quand c’est nécessaire. Je me lève et vient m’asseoir sur le devant de mon bureau, les cuisses encore une fois grande ouverte dans l’attente de la queue de ce jeune ouvrier. Lui, de son côté, il se redresse devant moi en détachent fébrilement son pantalon qui tombe sur ses chevilles avec son caleçon. Je découvre alors une belle grosse queue tendue qui ne demande qu’a pénétrer dans ma grotte d’amour. Je fixe ce beau sexe puis regarde le jeune homme avant de lui dire : 
  • « Alors tu viens me la mettre, et tu as intérêt à me baiser convenablement petit con. » 
  • Après avoir prononcé ces paroles, J’ai l’impression que le sexe de l’ouvrier prend encore du volume. Visiblement il aime être traité de la sorte et insulté. Je lui tens un préservatif qui se trouve dans un petit pot sur mon bureau. 

- « Allez, enfile ca et tronche moi connard. »
Le jeune homme enfile la capote avec dextérité puis plante sa bite d’un coup dans ma chatte. Les mouvements de vas et vient lui tire de petit râle de plaisir. Comme j’aime la provocation je le regarde dans les yeux et lui dit : 

- « Alors c’est tout ce que tu peux faire petite bite ? »
Je vois dans son regard que je l’ai touché dans son amour propre et que maintenant, il va mettre la gomme. Les coups de rein son de plus en plus puissant. Il commence carrément à me défoncer maintenant. Heureusement qu’il me tient par les cuisses aussi non il m’enverrait valdinguer de l’autre côté du bureau tellement ces coup de queues sont puissant. A chaque coup, ma jouissance est accompagnée de petit « oui » d’excitation. Je sens que je ne vais pas tarder jouir puis d’un coup, il se plante au plus profond de mon sexe et dans un râle de plaisir dit : 

- « Ho putain c’est bon. »
J’attend qu’il se retire avant de me redressée et de rajuster ma jupe et le reste de ma tenue quelque peut malmenée par ce qui vient de se passer. Le jeune ouvrier quand à lui, remonte son pantalon en me regardant me diriger vers la porte de mon bureau que j’ouvre pour sortir. Je me retourne une dernière fois vers lui avant de sortir et lui dit : 

  • « J’espère que à mon retours vous aurez fini votre travail. »

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Par infidele
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Mardi 31 mars 2 31 /03 /Mars 13:20

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  •   -  « vous serez toujours à votre poste après mon rendez vous ? »
  •   -  « Tout dépend de la durée de votre rendez vous mais je pense que oui.
    Le type repartis avec un grand sourire et en me faisant un petit clin d’œil.
    Quand il redescend toujours le sourire aux lèvres, il vient immédiatement dans ma direction

  • -  « Alors votre rendez vous c’est bien passé ? »
  • -  « Oui vraiment bien, très productif. »  

 

Je le regarde d’un air coquin voir même cochon. Je sais avoir le regard d’une véritable salope quand je le veux. Le délégué prend la parole timidement. 


Par infidele
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